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Au concombre masqué
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26 mai 2007

Tchoum ba la tchoum ah ah

caridentit_005

Parce que j'ai passé une semaine de merde, que j'ai mis des plombes à faire ce dessin, euh, comment dire, "légèrement" foiré. Rha putain, j'en arrive à un point de non retour, je n'ai jamais vu d'intérêt à me retourner sur le passé, et c'n'est pas aujourd'hui que je changerais( malheureusement).

Les gens, les identités qui gravitent inlassablement autour de moi ne m’apportent rien en définitive.

Et je me lasse, invariablement…

Il n’y a pas de pourquoi ni de comment, j’comprends plus, j’comprends rien…

Aux gens en particulier, je n’arrive pas à compatir, ni même à éprouver le moindre sentiment, la moindre humanité envers leurs problèmes, aussi grands soient-ils.

« Abîme et dépression sont un même vide : l'inanité de l'être que nous sommes. »( Mme Gervaisais)

( Ce qui me correspond assez bien ).

Il existe deux genres de personnes, ceux qui vivent avec les gens et qui les supportent( voir les apprécient), et ceux qui souhaiteraient voir sur terre que la nature privée( libérée ?) des hommes.

Pour le peu qu’on sert de toute façon…

Ah sinon, j’ai recommencé à lire « Les actifs corporels » de Bernard Mourad, et putain, qu’il est bien( penser à arrêter de dire putain a tout bout de champ…)

Résumé :

actifs« Alexandre Guyot, 32 ans, s’introduit en Bourse dans le cadre d’une loi encourageant une nouvelle économie individuelle. Le succès est retentissant mais de courte durée, car le fringant consultant est soudain rongé par le doute. Et dans ces métiers-là, on ne doute pas, monsieur. On compte. Du coup, sa cote baisse dangereusement jusqu’à l’OPA providentielle d’une collègue anorexique, brillante et machiavélique. À travers l’aliénation progressive de son antihéros se dessine une satire en creux d’un certain milieu des affaires et de ses corollaires : avocats omnipotents, sémillantes chargées de communication, banquiers d’affaires au pedigree parfait et aux cernes éloquents... Il y a du Bret Easton Ellis dans cette histoire des temps modernes où le cynisme n’a d’égal qu’un désenchantement visionnaire. »

Et la, ya plein de gens qui disent que c'est bien : les cons

Et on finit par la musicale du jour :

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